Dans ce lieu, nous sommes littéralement plongés à l'intérieur d'un tableau de maître : « La Chambre » de Vincent Van Gogh.
Ici, trois œuvres de l'artiste et une de Paul Gaugin doivent être identifiées. Une classification peut être établie grâce à un indice caché dans le tiroir du petit meuble (voir ci-dessus) et au numéro inscrit sur l'un des cadres :
1-Champ de blé avec cyprès.
2-Terrasse du café le soir.
3-Van Gogh peignant des tournesols.
4-La nuit étoilée.
Ces quatre noms assemblés fournissent exactement 81 lettres pouvant être disposées dans un carré de 9x9 cases.
Ainsi, grâce aux coordonnées inscrites sur le tableau (voir en haut de page), il est très simple de décoder la phrase :
« Quinze ans avant cette première chambre, il en avait une autre.
Un papier pour Loyer vient d'y être retrouvé.
La seconde ligne concerne d'un coup ses derniers instants. »
Van Gogh a réalisé trois versions de « La chambre ». Mais la première a été peinte en 1888. Quinze ans plus tôt, il résidait à Londres (de 1873 à 1874). Il louait une chambre à Ursula LOYER.
Il y a quelques mois, lors d'une restauration du bâtiment, des papiers ont été découverts et certains auraient appartenu à Vincent Van Gogh.
Parmi les documents, une police d'assurance pour Ursula Loyer. C'est celui-ci qu'il faut utiliser, car les deux mots de la seconde ligne sont la solution : « FIRE & LIFE » (Feu et Vie).
Beaucoup se sont demandé pourquoi ces mots ?
Il concerne directement la tragique fin de VIE de Van Gogh (et nom de la propriétaire comme aurait pu le suggérer la tournure de la phrase) qui se serait suicidé à l'aide d'une arme. Le coup de FEU lui a été évidemment fatal...