Bonsoir Akhesa08,
Cette phrase et celle du dessus sont en effet les seules où l'on puisse convenir de la lecture sur la pierre.
De plus, le N inversé existe également dans l'alphabet cyrillique...
Cependant, pour ma part, je ne crois pas à la version russe dite de 1920 (ceci n'étant qu'un rajout, peut-être par, effectivement, un russe), mais je suis convaincu qu'un breton pourrait voir dans bien des mots des mots bretons. D'où l'intérêt de travailler tous ensemble. Les non-bretons ou non-connaisseurs définissent une lecture de la pierre puis les "bretons" (ou les linguistes, amateurs ou autres) interviennent. C'est tout l'esprit de CodeBarre quand il a voulu créé le groupe. Travailler sur un texte faux ou non validé par un groupe ne sert à rien.
La pierre était-elle visible de tous, située plus haut par exemple,Manques-t'il des morceaux ? ou cachée par la marée.
Le texte était-il codé ou non? Dans ce cas,que signifie la "lune", pourquoi les "o" ne sont-t'ils tous pas positionnés correctement, certains étant situés sur le "demi supérieur". Comparons l'espace entre les lettres, cela n'est-il pas étonnant ? S'il s'agit effectivement d'ancien ou moyen breton où est le " ' ", l'apostrophe assez typique de la langue celte/breton ou du moyen breton? L'analyse fréquentielle tend à valider le E pour un E, pour le reste.....
Nous devons valider "le" sinon "un" texte.